Agenda

13 mars 2007

13 mars 2007
L'OPA
75 PARIS 12EME ARRONDISSEMENT
escROCKerie
escROCKerie 21H / DENTELLES NERVEUSES
Nourri au biberon par les Stooges, DENTELLES NERVEUSES a su conserver l'énergie brut de leurs premiers amours en les mariant à des influences plus modernes. Le résultat de cet accouplement donne une musique à la fois authentique et novatrice.
Avec eux il sera question de tension, d’énergie, décadence, destruction, jouissance, déliquescence, amour, agonie, coeur, déchéance... de foi en un rock nerveux et maîtrisé qui leur est propre. Sur scène c’est un show d’une intensité « bluffante », une performance au delà de toute logique, ça donnerait envie de transpirer avec eux…!
22h : Whodunit
Fin 2002, alléché par une reprise speedée et décadente du « Transmission » de Joy Division, un acharné fait irruption dans le local des Whodunit. Il capte 13 morceaux en prise live et les oblige à écouter la bande. La démo part dans tous les sens, des instrumentaux très punk, des influences allant de Mudhoney aux Celibate Rifles en passant par John Spencer, des titres Fugaziens et quelques morceaux au son garage alternant son clair et distorsion. « Lost on mars » retient vite l’attention des auditeurs.
Whodunit devient un vrai groupe avec un projet ; enregistrer un premier autoproduit et faire des concerts. Le premier ep sera enregistré en novembre 2003 sous le nom de « Copy approved », toujours en prise live mais avec Didier Tillit aux manettes. Il sort en autoproduit en février 2004 et reçoit quelques très bonnes critiques. Au même moment, Didier et Luc écoutent les Von Bondies, redécouvrent les Gun Club et décident de prendre un virage plus rock’n roll tout en composant quelques blues décadents, Filou (ex bassiste des DDT) accepte de jouer le jeu et prend la 2ème guitare. Une rencontre avec Lucas Trouble les incitera à retourner en studio alors que leur premier ep vient tout juste de sortir.
Décembre 2004, les Whodunit sont au Kaiser Studio. Le son évolue, le tempo ralentit, les Whodunit expérimentent le tout analogique et un son résolument plus "Sixties". Le post rock des débuts est loin, très loin, un 2ème ep 5 titres qualifié de Garage/Blues et intitulé « Buried memories from plastic land » sortira en juin 2005. A l’issue de l’enregistrement, Fabrice le batteur des débuts est remplacé par Frantz (ex Sens interdit), les influences du batteur passent ainsi de Joy Division aux Dead Kennedy’s, ce qui aura pour effet une relative accélération du tempo. Le 2ème ep est très bien accueilli par la presse. Les Whodunit sont souvent comparés au Gun club et qualifiés de groupe garage blues grâce à des morceaux comme « Buried Memories » ou le très plébiscité « Plastic Woman ».
En live, les morceaux sont accélérés, les Whodunit reprennent aussi bien les Ramones que les Dead Kennedy’s, leurs prestations sont parfois accompagnées de projections vidéos et surtout des chorégraphies des fabuleuses Del-tonettes. Les Whodunit soignent leur apparence, reprennent les Kinks mais ne jouent pas au Gibus.
Mai 2006, les Whodunit, harcelés par les Del-tonettes partent se réfugier chez le Kaiser avec pour objectif d’enregistrer des morceaux courts et rapides plus en adéquation avec leurs prestations live. 15 titres dont la plupart n’excèdent pas 2 minutes seront mis en boite pour ce qui deviendra « The Island of Thousand Women ».
accents blues-rock garage, avec des riffs incisifs et de sales voix qui se répondent dans une noirceur évidente. Un fameux Hey Hey donne le ton, puis ça enchaîne sans souffler malgré des pages plus groovy (Lili's song, I need you des Kinks) mais toujours nerveuses. On parle de "kangourou rock", ça leur va bien...

entrée gratuite

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